Depuis 1987 trois maisons de l’association Saint-Jean Espérance accueillent des jeunes, hommes ou femmes, de 18 à 35 ans, en difficulté du fait d’addictions, particulièrement de la toxicomanie. Ces jeunes désirent redonner un sens à leur vie.
Quand un pauvre appelle vers Dieu, son cri traverse les nuées !
En 1987, des jeunes toxicomanes demandèrent au père Jean-Philippe, frère de Saint-Jean, d’ouvrir une maison familiale, pour eux, pour se refaire une santé physique, mentale et spirituelle, mais aussi, pour certains, expérimenter et découvrir que Dieu est Notre Père.
Dans le village berrichon de Pellevoisin, proche de Châteauroux, il découvre le sanctuaire marial consacré à « Marie, mère toute miséricordieuse ». C’est ainsi que la Sainte Vierge, s’était présentée à une pauvre domestique mourante, Estelle Faguette. Elle lui est apparue quinze fois. Cela se passait en 1876. Elle lui déclara aussi : « Je choisis les petits et les faibles pour publier ma gloire. » Frappé de la lumière que ce message de Marie donnait à son action, le Père Jean-Philippe n’hésita pas à confier la maison qu’il venait d’ouvrir à Marie, pour qu’Elle puisse y accueillir ses pauvres. Saint-Jean Espérance, si elle est d’abord l’intuition d’un religieux à la suite de la demande de toxicomanes, est, dès sa fondation, une œuvre commune entre religieux et laïcs.
Dans chacune des maisons, une petite communauté fraternelle et chrétienne vit sur place. Cette communauté peut regrouper, selon les cas, des frères et des laïcs bénévoles ou salariés. Elle est portée par des comités de soutien locaux, des sœurs, des oblats de Saint-Jean, des amis. Ce qu’ils sont et ce qu’ils font présente de nombreux éléments communs avec d’autres structures d’accueil : accompagnement personnel, possibilité d’un suivi psychologique, vie communautaire, règlement ferme, travaux en tout genre, aide à la réinsertion, etc.
Visiter le site de l’association Saint-Jean Espérance
Page Facebook